Dans mes allers et retours
Je t’ai croisée au pays des cocotiers et des vagues
Belle, tu as emporté mon cœur
Te dire, j’en étais incapable
Des saisons se sont écoulées
Mes erratiques pas s’estompent dans ma tragique terre
Au charme ensoleillé et ensablé
Te voilà, tel un soleil de printemps
Pèlerin je cueille à ton ombre les éphémères grappes de mes errances
Tu repartiras, moi aussi, chacun de son côté
A la quête du lointain et proche bonheur
Du pays des cocotiers et des vagues, tu repartiras
Moi de la ville des collines, j’irai
Seules collines et vagues ne peuvent se rencontrer
Dans ma mémoire amnésique des temps qui coulent
Je t’y grave pour que le temps ne t’écoule
Les collines et les vagues ne peuvent avoir raison
Des cœurs se sont épris.(61008)
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