INTRODUCTION
Selon le tableau chronologique qui vient après l’introduction littéraire de L’Anthologie de la littérature et des arts tchadiens , la littérature écrite tchadienne est née dans les années 60, plus précisément en 1962 avec deux publications à savoir : La dote (1962) de Bebdone PALOU et Au Tchad sous les étoiles (Présence Africaine, 1962) de Joseph Brahim SEID. Cette littérature malgré les différents conflits sociopolitique qu’a connus le Tchad a évolué. Progressivement, les différents genres (roman, nouvelle, essai, théâtre et poésie) de cette littérature se sont assis.
Parlant de la poésie, ce genre a vu le jour 20 ans après l’émergence de la littérature écrite tchadienne d’expression française, dans les années 80, avec la publication de : Murmure (Moundou, 1981), Frappe sur les mains sœurette(Moundou, 1981) de DJIMADOUM Kodje-Fils ; Des mots à dire (Montréal, 1987) de Djekornodé MOUGNAN ; Silence des chemins (Pensée Universelle, 1987), Pierre Poussière (Obsidiane, 1987) et Passage à l’infini de Nimrod.
Tributaire des problèmes de la littérature et du Tchad en générale, la poésie tchadienne écrite d’expression française a eu du mal à évoluer et à s’imposer sur le terroir national qu’international. Des années 80 à nos jours, les poétesses et poètes tchadiens d’expression française se compte du bout des doigts : Nimrod, Koulsy, Derlemari, Mougnan, Donaï, Salma, Nocky etc. L’éminent représentant de cette poésie est Nimrod, les noms comme Salma, Nocky, Djim de Busy doivent acquérir encore une notoriété.
Pourquoi Nimrod a-t-il cette notoriété nationale et internationale ? Sans doute c’est à cause de la finesse de sa poésie, du travail assidu, sans cesse de réécriture. Mais aussi du fait qu’il écrit en France et sa poésie est distribuée et répandue dans les anciens pays de la colonie française.
Parlant de la poésie, ce genre a vu le jour 20 ans après l’émergence de la littérature écrite tchadienne d’expression française, dans les années 80, avec la publication de : Murmure (Moundou, 1981), Frappe sur les mains sœurette(Moundou, 1981) de DJIMADOUM Kodje-Fils ; Des mots à dire (Montréal, 1987) de Djekornodé MOUGNAN ; Silence des chemins (Pensée Universelle, 1987), Pierre Poussière (Obsidiane, 1987) et Passage à l’infini de Nimrod.
Tributaire des problèmes de la littérature et du Tchad en générale, la poésie tchadienne écrite d’expression française a eu du mal à évoluer et à s’imposer sur le terroir national qu’international. Des années 80 à nos jours, les poétesses et poètes tchadiens d’expression française se compte du bout des doigts : Nimrod, Koulsy, Derlemari, Mougnan, Donaï, Salma, Nocky etc. L’éminent représentant de cette poésie est Nimrod, les noms comme Salma, Nocky, Djim de Busy doivent acquérir encore une notoriété.
Pourquoi Nimrod a-t-il cette notoriété nationale et internationale ? Sans doute c’est à cause de la finesse de sa poésie, du travail assidu, sans cesse de réécriture. Mais aussi du fait qu’il écrit en France et sa poésie est distribuée et répandue dans les anciens pays de la colonie française.
La notoriété d’un poète ou d’un artiste d’une manière générale vient du sérieux de son art, de sa facilité à toucher le public ou le lectorat. C’est le public ou le lectorat qui consacre l’artiste. Si les autres poètes ne sont pas connus ce parce qu’ils écrivent dans des pays lusophone ou anglophone. C’est le cas de Derlemari et Mougnan qui écrivent de Montréal et de Koulsy qui ce dernier temps écrit du Mexique.
Dans ce blog, je me propose de publier la biobibliographie ces poètes et les thèmes récurrents abordés dans leur poésie. (NB : Ces publications sont les fruits d’un travail de master I, intitulé « Poésie tchadienne écrite d’expression française : Sa production, ses difficultés et approches de solutions.» en cours de soutenance à l’Université de N’djaména-Tchad)
Mag. Eynem,
Mémoire de Maîtrise "Poésie tchadienne écrite d'expression française:production, difficultés et solutions"
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