samedi 1 novembre 2014

DON BOSCO OYEM

S.O.S, REDONNER VIE À L’OEUVRE D’OYEM 

L’œuvre salésienne d’Oyem a vu le jour en 1984. Aujourd’hui, l’œuvre comprend : un Oratoire- centre des jeunes, un complexe scolaire, un Centre professionnel et un atelier de production qui s’étiolent.

Si dans le passé, l’œuvre d’Oyem a rayon- né, actuellement, elle se meurt et demande d’être revêtue de son éclat d’antan. Certes, beaucoup d’efforts sont consentis, pour assurer à l’œuvre sa survie, mais beaucoup restent à faire. Dans tous les secteurs qui constituent l’œuvre, l’on peut constater une certaine léthargie. Sans être trop alarmiste, progressivement, la structure et les meubles, se dégradent. Une bibliothèque avec des piles des livres entassés dans les armoires à linges, sans tables, ni chaises. Un collège où à la rentrée officielle, il y a à peine dix élèves par classes. Un centre professionnel qui, jusqu’aujour- d’hui, attend les apprenants. Une salle d’informa- tique au « pentium 2 » etc.



Mais pourquoi cette léthargie ? Les causes peu- vent être lointaines comme récentes.
Et les jeunes ? Ils sont là , baignés dans une foi teintée de superstitions et des croyances tradition- nelles ; dans une culture bigarrée, hydride, favori- sant le moindre effort, la jouissance et la bureau- cratie ; vivant sous-tutelle des grands parents ou dans les familles segmentées, et la supercherie de l’Etat providence. Tout laisse à croire, selon cer- taines analyses et points de vue puristes, une so- ciété en déliquescence, sous l’emprise du diable, à extirper à tout prix.
Un vrai diagnostic s’impose pour redonner vie et signifiance à cette œuvre. 




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