samedi 14 février 2009

14 Février, St Val, Fête de l’Amour !

Pour savoir l’histoire de cette fête païenne, il suffit de consulter le moteur de recherche Google pour avoir une panoplie de connaissances. A l’origine, selon certaines légendes, cette fête était la célébration de l’amour conjugal avec tous les soins qui l’entourent (des éloges, des lettres, des poèmes etc.). Aujourd’hui, l’amour sublime, élogieux comme dans la littérature du 18 siècles ou les poèmes shakespeariens tend à disparaître. L’amour devient génitalité ou est orienté vers la génitalité avec toutes les conséquences dont souffre le monde juvénile. Célébrer cette fête ou cette journée à mon avis serait d’une façon générale de célébrer l’amour. L’amour au sens général et non au sens particulier orienté vers deux personnes de sexes opposés. Notre siècle est en mal de l’amour sinon comment comprendre tous ces maux qui nous gangrènent : vol, corruption, exploitation, tuerie, infidélité, avortent, etc. Même si l’être humain est naturellement habité par ce dualisme faire le bien et le mal, s’il règne un vrai Amour, le mal serait moindre. Et le monde serait un peu plus meilleur qu’il ne l’est maintenant. Car selon le texte de St Paul aux Corinthiens (1Cor13, 1-13), l’amour est absence du mal. On pourrait se demander alors pour quoi tant de mal si Dieu pour les croyants est Amour ? Les théologiens tranchent l’Homme est libre de ses actes et en aucun cas Dieu ne le contraint et ne peut le déterminer à agir contre sa volonté. Cette fête génère pas mal de bisness : des cadeaux à donner, des repas à offrir etc. Les cadeaux occupent tellement de place que l’expression d’un je t’aime dénué de tout intérêt n’existe plus. "On mange le je t’aime " comme on entend par ici. Célébrer l’amour qui devrait être source de joie et d’allégresse devient tristesse et angoisse. Et pourtant la vie est si simple et nous nous la compliquons trop au point qu’elle devient calvaire. Je vous aime et vous offre comme cadeau ce texte de St Paul :
J’aurais beau parler toutes les langues de la terre et du ciel, si je n’ai pas la charité, s’il me manque l’amour, je ne suis qu’un cuivre qui résonne, une cymbale retentissante. J’aurais beau être prophète, avoir toute la science des mystères et toute la connaissance de Dieu, et toute la foi jusqu’à transporter les montagnes, s’il me manque l’amour, je ne suis rien. J’aurais beau distribuer toute ma fortune aux affamés, j’aurais beau me faire brûler vif, s’il me manque l’amour, cela ne me sert à rien. L’amour prend patience ; L’amour rend service ; L’amour ne jalouse pas ; Il ne se vante pas, ne se gonfle pas d’orgueil ; Il ne fait rien de malhonnête ; Il ne cherche pas son intérêt ; Il ne s’emporte pas ; Il n’entretient pas de rancune ; Il ne se réjouit pas de ce qui est mal, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai ; Il supporte tout, il fait confiance en tout, il espère tout, il endure tout. L’amour ne passera jamais.

1 commentaire:

Luis Portugal a dit…

Salut
Vous avez un bon blog.
Désolé de ne pas écrire plus, mais mon français écrit est mauvais.
Un câlin de mon pays, le Portugal